Oeuvres choisies de Marmontel ...: Mémoires d'un père (1-2) v.3-6, Contes moraux (1-4).-v.7-10, Eléments de littérature (1-4).-v.11, Les incas.-v.12, BélisaireVerdiere, 1827 |
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aimable allait amis assemblée assez aurait avaient Bélisaire bonté Brienne c'était Calonne caractère charmes clergé cœur comité des électeurs confiance conseil courage crédit crime croyait d'être délibération demander députés dès-lors devait dis-je dit-il donner enfants esprit états états-généraux eût faisait fallait femme finances force fût grace Grétry homme j'ai j'avais j'en j'étais jamais jeune jours l'abbé l'Académie l'ame l'assemblée nationale l'autre l'avait l'État l'Hôtel-de-Ville l'un laisser lettres liberté lit de justice livre Louis XVI lui-même m'en madame de Pompadour madame de Séran madame Filleul madame Geoffrin madame Necker mademoiselle Clairon malheureux marquis de Launay Maurepas Mémoires ment ministre Mirabeau Miroménil moi-même monsieur musique n'avait n'en n'était nation Necker noblesse parlement passer pensée peuple Piccini pouvait prince public raison résolution rien Rousseau royaume s'était sentiments serait seul sire soin talents tête tion troupes trouver Turgot venait Versailles voix voulait voulu voyait
Popular passages
Page 292 - La dette de l'État, déjà immense à mon avènement au trône, s'est encore accrue sous mon règne. Une guerre dispendieuse, mais honorable , en a été la cause; l'augmentation des impôts en a été la suite nécessaire, et a rendu plus sensible leur inégale répartition. Une inquiétude générale...
Page 314 - C'est moi jusqu'à présent qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.
Page 310 - Versailles, et prêtèrent le serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeraient jusqu'à ce que la Constitution fût établie et affermie sur des fondements solides.
Page 340 - Ne croyez pas ceux qui vous parlent légèrement de la nation, et qui ne savent que vous la représenter selon leurs vues : tantôt insolente, rebelle, séditieuse; tantôt soumise, docile au joug, prompte à courber la tête pour le recevoir. Ces deux tableaux sont également infidèles. Toujours prêts à vous obéir, Sire, parce que vous commandez au nom des lois, notre fidélité est sans bornes comme sans atteinte.
Page 293 - Puisse, Messieurs, un heureux accord régner dans cette assemblée , et cette époque devenir à jamais mémorable pour le bonheur et la prospérité du royaume...
Page 314 - ... m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul, je ferai le bien de mes peuples; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant; et connaissant vos cahiers, connaissant l'accord parfait qui existe entre le vœu le plus général de la nation et mes intentions bienfaisantes, j'aurai toute la confiance que doit inspirer une si rare harmonie, et je marcherai vers le but auquel je veux atteindre avec tout le courage et la fermeté qu'il doit m'inspirer.
Page 313 - Vous venez , Messieurs , d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul , je ferai le bien de mes peuples ; seul , je me considérerai comme leur véritable représentant...
Page 337 - S'il avait pu en douter , n'aurait-il pas versé dans notre cœur ses chagrins paternels ? Que veut dire cet appareil menaçant? Où sont les ennemis de l'état et du roi qu'il faut subjuguer ? Où sont les rebelles , les ligueurs qu'il faut réduire?.... Une voix unanime répond dans la capitale et dans l'étendue du royaume :
Page 338 - ... cruel, implacable? Avez-vous abusé de la justice? Le peuple vous impute-t-il ses malheurs? Vous nomme-t-il dans ses calamités ? Ont-ils pu vous dire que le peuple est impatient de votre joug, qu'il est las du sceptre des Bourbons? Non...
Page 373 - Messieurs, je vous ai assemblés pour vous consulter sur les affaires les plus importantes de l'État. Il n'en est pas de plus instante, et qui affecte plus sensiblement mon cœur, que les désordres affreux qui régnent dans la capitale. Le chef de la...