Jean-Jacques Rousseau: sa vie et ses ouvrages, Volume 2Charpentier, 1875 |
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... ville où les mœurs et l'honneur ne sont rien , parce que chacun , déro- 1. Voyez ce que j'ai cité de son discours sur l'Économie poli- tique . bant aisément sa conduite aux yeux du public , ne 1 . SA VIE ET SES OUVRAGES . 5.
... ville où les mœurs et l'honneur ne sont rien , parce que chacun , déro- 1. Voyez ce que j'ai cité de son discours sur l'Économie poli- tique . bant aisément sa conduite aux yeux du public , ne 1 . SA VIE ET SES OUVRAGES . 5.
Page 10
... cirque que la ville fut prise par les Van- dales , si bien que les cris de ceux qu'on massacrait 1. Voyez les lettres de Cassiodore , liv . III . se mêlaient , dit Salvien , aux cris de ceux 10 JEAN - JACQUES ROUSSEAU .
... cirque que la ville fut prise par les Van- dales , si bien que les cris de ceux qu'on massacrait 1. Voyez les lettres de Cassiodore , liv . III . se mêlaient , dit Salvien , aux cris de ceux 10 JEAN - JACQUES ROUSSEAU .
Page 37
... Voyez en effet comment d'Alembert , dans sa réponse à Rousseau , parle des devoirs et des joies de la famille . Le passage est curieux . « < Sans doute , dit - il , tous nos divertissements forcés et fac- tices , inventés et mis en ...
... Voyez en effet comment d'Alembert , dans sa réponse à Rousseau , parle des devoirs et des joies de la famille . Le passage est curieux . « < Sans doute , dit - il , tous nos divertissements forcés et fac- tices , inventés et mis en ...
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... voyez comme en face du péril inévitable cette débonnaireté devient une admi- rable patience , et en face de l'échafaud un sublime dévouement . Quelle débonnaireté , j'allais dire quelle faiblesse dans le roi ! quelle grandeur dans le ...
... voyez comme en face du péril inévitable cette débonnaireté devient une admi- rable patience , et en face de l'échafaud un sublime dévouement . Quelle débonnaireté , j'allais dire quelle faiblesse dans le roi ! quelle grandeur dans le ...
Page 72
... voyez comme tout s'enchaîne heureusement dans le monde moral ! comme toutes nos obligations se soutiennent et s'aident mutuellement ! La vie do- mestique , tout humble qu'elle est , nous prépare à la vie céleste . Ces devoirs de fils ...
... voyez comme tout s'enchaîne heureusement dans le monde moral ! comme toutes nos obligations se soutiennent et s'aident mutuellement ! La vie do- mestique , tout humble qu'elle est , nous prépare à la vie céleste . Ces devoirs de fils ...
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Common terms and phrases
aimer âme Aristote besoin Bossuet Boufflers c'est-à-dire c'était casuistes cause charme choses chrétienne citoyen cœur Coindet comédie conscience Contrat social croire croit croyait d'Alembert d'être devoir Dieu dire dit-il dix-huitième siècle doctrine doit donner éducation effet élever Émile enfants esprit État famille fant femme Fénelon filles frivole goût gouvernement hommes honnête humaine idées j'ai Jean-Jacques Rousseau jours l'âme l'amour l'autre l'éducation l'Église l'Emile l'enfant l'esprit l'homme l'idée lettres liberté littérature livre Louis XIV lui-même madame d'Épinay madame de Luxembourg madame de Maintenon madame Necker Malesherbes ment mère mieux mœurs monde moral nature parler passions pensée père Porée personne peuple philosophe plaisir plaisirs Platon poëte Port-Royal précepteur prince de Conti pudeur qu'un raison règle religion religion civile rien Robinson Rous saint Augustin seau sentiments sera seulement société soin Sophie souvent souveraineté spectacles surtout théâtre tion trouve vanité vérité vertu veut vicaire savoyard vice voilà volonté Voltaire voulait
Popular passages
Page 247 - rassemble autour de moi l'innombrable foule de mes semblables; qu'ils gémissent de mes indignités, qu'ils rougissent de mes misères! Que chacun d'eux découvre à son tour son cœur au pied de ton trône avec la même sincérité, et puis, qu'un seul te dise, s'il l'ose : Je fus meilleur que cet homme-là !
Page 372 - de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif, composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix; lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté. Cette personne publique, qui se forme ainsi par l'union de toutes les autres, prenait autrefois le nom de cite,
Page 189 - La grâce Ne descend pas toujours avec même efficace; Après certains moments que perdent nos langueurs, Elle quitte ces traits qui pénètrent les cœurs; Le nôtre s'endurcit, la repousse, l'égare : Le bras qui la versait en devient plus avare, Et cette sainte ardeur qui doit porter au bien Tombe plus rarement ou n'opère plus rien.
Page 201 - détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions; ils arrachent du fond des cœurs le remords du crime, l'espoir de la vertu, et
Page 201 - la morale, quoiqu'elle procède de l'âme et n'ait pas besoin d'être révélée, ne peut pourtant point se passer d'une croyance surnaturelle pour fin et pour sanction. «Fuyez ceux qui, sous prétexte d'expliquer la nature, sèment dans les cœurs des hommes de désolantes doctrines, et dont le scepticisme apparent est cent fois plus
Page 363 - la liberté ne se maintient qu'à l'appui de la servitude ? Peutêtre. Les deux excès se touchent. Tout ce qui n'est point dans la nature a ses inconvénients, et la société civile plus que tout le reste Il ya telles positions malheureuses où l'on ne peut conserver sa
Page 87 - mieux dénaturer l'homme, lui ôter son existence absolue pour lui en donner une relative, et transporter le moi dans l'unité commune ; en sorte que chaque particulier ne se croie plus un, mais partie de l'unité, et ne soit plus sensible que
Page 373 - en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet in1. L'expropriation pour cause d'utilité publique ne détruit pas le droit de propriété, puisque l'expropriation doit
Page 344 - semblait déployer à mes yeux une magnificence toujours nouvelle. L'or des genêts et la pourpre des bruyères frappaient mes yeux d'un luxe qui touchait mon cœur. La majesté des arbres qui me couvraient de leur ombre, la délicatesse des arbustes qui m'environnaient, l'étonnante variété
Page 209 - Ne sont-ce pas, dit-il, les femmes qui ruinent ou qui soutiennent les maisons, qui règlent tout le détail des choses domestiques, et qui par conséquent décident de ce qui touche le plus à tout le genre humain? Il faut donc, dans l'intérêt des familles et dans l'intérêt de l'État, « qui n'est que l'assemblage de toutes les familles,