... constituaient toute sa fortune et satisfaisaient ses désirs ; au point que se voyant un jour possesseur de 800 piastres , il trouva cette somme beaucoup trop forte pour un seul homme , et la joua. Peu sociable, aimant le travail du cabinet, et à... Revue Americaine: journal mensuel - Page 4741827Full view - About this book
| 1827 - 668 pages
...moitié d'une maison en ville, une petite propriété à la campagne (cftacra), constituaient toute sa fortune et satisfaisaient ses désirs, * au point...cette inflexibilité de caractère qui le conduisit parla suite d'écarts (1) Le collège pour les études de théologie n'a été fondé à l' tion qu'en... | |
| Johann Rudolph Rengger, Marcelin Longchamp - Paraguay - 1827 - 348 pages
...constituaient toute sa fortune et satisfaisaient ses désirs ; au point que se voyant un jour possesseur de 800 piastres , il trouva cette somme beaucoup trop forte...le goût du libertinage , il resta célibataire. Il ne fut donc jamais chef de famille; il repoussa d'ailleurs toutes les affections tendres , il ne connut... | |
| Science - 1827 - 458 pages
...toute sa fortune et satisfaisaient ses désirs ; au .point que se voyant un jour possesseur de 800 piastres , il trouva cette somme beaucoup trop forte...le goût du libertinage , il resta célibataire. Il ne fut donc jamais chef de famille, il repoussa d'ailleurs toutes les affections tendres , il ne connut... | |
| Santiago Arcos - Argentina - 1865 - 598 pages
...que, se voyant un jour possesseur de 800 piastres, il trouva cette somme beaucoup trop forte pour un homme, et la joua. Peu sociable, aimant le travail...joignant le goût du libertinage, il resta célibataire. 1l ne connut donc point les affections de la famille ; repoussant d'ailleurs tous les sentiments tendres... | |
| Santiago Arcos - Argentina - 1865 - 714 pages
...que, se voyant un jour possesseur de 800 piastres, il trouva cette somme beaucoup trop forte pour un homme, et la joua. Peu sociable, aimant le travail...joignant le goût du libertinage, il resta célibataire. II ne connut donc point les affections de la famille ; repoussant d'ailleurs tous les sentiments tendres... | |
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