Le Correspondant, Volume 86Charles Douniol, 1872 - French periodicals |
From inside the book
Results 1-5 of 56
Page 70
... Jeanne ? Quelques jours avaient suffi à Geneviève pour l'aimer si tendrement qu'elle n'avait même plus besoin de se souvenir de la promesse faite au lit de mort de la duchesse d'Erlange . Avoir Jeanne à ses côtés , savourer ses caresses ...
... Jeanne ? Quelques jours avaient suffi à Geneviève pour l'aimer si tendrement qu'elle n'avait même plus besoin de se souvenir de la promesse faite au lit de mort de la duchesse d'Erlange . Avoir Jeanne à ses côtés , savourer ses caresses ...
Page 71
... Jeanne lui appartenait dès le berceau , que , pour la dé- dommager de ses chagrins , Dieu lui avait envoyé cette enfant , char- gée de suppléer à ce qui lui manquait . Chez les femmes pures et aimantes qui ne vivent que pour les af ...
... Jeanne lui appartenait dès le berceau , que , pour la dé- dommager de ses chagrins , Dieu lui avait envoyé cette enfant , char- gée de suppléer à ce qui lui manquait . Chez les femmes pures et aimantes qui ne vivent que pour les af ...
Page 73
... Jeanne , qu'il nommait sa petite duchesse , à la bonne mine et aux progrès de Pierre , dont le caractère impétueux , passionné , enthou- siaste , acceptait avec une ardente joie les jolis caprices et la gra- cieuse tyrannie de Jeanne ...
... Jeanne , qu'il nommait sa petite duchesse , à la bonne mine et aux progrès de Pierre , dont le caractère impétueux , passionné , enthou- siaste , acceptait avec une ardente joie les jolis caprices et la gra- cieuse tyrannie de Jeanne ...
Page 74
... Jeanne , un maître tel qu'en auraient vaine- ment cherché , en ces moments de désarroi , des millionnaires ou des princes . - Pierre , dit un jour le docteur à son jeune ami , qui touchait alors à l'adolescence , vous savez , n'est - ce ...
... Jeanne , un maître tel qu'en auraient vaine- ment cherché , en ces moments de désarroi , des millionnaires ou des princes . - Pierre , dit un jour le docteur à son jeune ami , qui touchait alors à l'adolescence , vous savez , n'est - ce ...
Page 75
... Jeanne en battant des mains ; quelle joie ! Il y en a dans les armes de mon père . Les deux enfants prirent les ... Jeanne lui inspire n'est encore que de l'amitié ... Mais vienne la seizième année et il n'en est pas loin , ce sera de l ...
... Jeanne en battant des mains ; quelle joie ! Il y en a dans les armes de mon père . Les deux enfants prirent les ... Jeanne lui inspire n'est encore que de l'amitié ... Mais vienne la seizième année et il n'en est pas loin , ce sera de l ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme assez aurait avaient Bérénice Berval besoin Beugnot c'était capital Casimir Périer catholiques Chambre Charles X Chine chose chrétienne citoyen cœur Conciergerie constitution crimes demander devant Dickens Dieu dire doctrine donner écoles enfants esprit évêques famille femme force frères Geneviève gouvernement Gratry guerre Haly hommes idées j'ai j'avais jamais Jeanne jeune jour Jules Simon l'Église l'empire l'enseignement l'esprit l'État l'homme l'instruction laïques laisser lettres liberté livre lois Louis de Carné LOUISE madame madame Roland main maître malheureux MARIETTE Mékong ment millions ministre monarchie monde Montesquieu morale mort n'avait n'était nationale parler parole passé passions pauvre pays Pékin pensée père personne peuple philosophie Pierre politique pouvoir premier Pressensé prêtres prince prince de Polignac principe prisons Prusse public publique qu'un question raison religieux religion RENÉ reste révolution rien Russie saint SAINT-MARCEL semble sentiment serait seul siècle social société sorte suffrage universel Thiers tion Trévières trouve vérité voilà yeux
Popular passages
Page 309 - LE premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile...
Page 310 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.
Page 308 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 296 - II est vrai que dans les démocraties le peuple paraît faire ce qu'il veut ; mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut. Dans un état, c'est-à-dire dans une société où il ya des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir, et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir.
Page 314 - Il ya telles positions malheureuses où l'on ne peut conserver sa liberté qu'aux dépens de celle d'autrui, et où le citoyen ne peut être parfaitement libre que l'esclave ne soit extrêmement esclave.
Page 291 - Il ne suffit pas qu'il y ait dans une monarchie des rangs intermédiaires; il faut encore un dépôt de lois. Ce dépôt ne peut être que dans les corps politiques, qui annoncent les lois lorsqu'elles sont faites, et les rappellent lorsqu'on les oublie.
Page 993 - Jamais aucune main sur la corde sonore Ne guida dans ses jeux ma main novice encore : L'homme n'enseigne pas ce qu'inspire le ciel ; Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente, L'aigle à fendre les airs d'une aile indépendante, L'abeille à composer son miel.
Page 311 - Il s'ensuit de ce qui précède que la volonté générale est toujours droite et tend toujours à l'utilité publique : mais il ne s'ensuit pas que les délibérations du peuple aient toujours la même rectitude. On veut toujours son bien, mais on ne le voit pas toujours : jamais on ne .corrompt le peuple, mais souvent on le trompe, et c'est alors seulement qu'il paraît vouloir ce qui est mal.
Page 294 - QUOIQUE tous les états aient en général un même objet, qui est de se maintenir, chaque état en a pourtant un qui lui est particulier. L'agrandissement étoit l'objet de Rome; la guerre, celui de Lacédémone; la religion , celui des lois judaïques ; le commerce, celui de* Marseille; la tranquillité publique, celui des lois...
Page 297 - C'est un beau spectacle que celui des lois féodales. Un chêne antique s'élève ' ; l'œil en voit de loin les feuillages : il approche ; il en voit la tige , mais il n'en aperçoit point les racines : il faut percer la terre pour les trouver.