Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de girondinsL'auteur, 1861 |
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actes âme applaudissements aristocratie armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot c'était Camille Desmoulins Champ de Mars citoyens clergé clubs cœur comte de Fersen conspirateurs constitutionnel cour crime culte Danton décret députation despotisme devait dévouement discours émigrés ennemis esprits eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule garde nationale génie Girondins gouvernement guerre haine hommes Jacobins jour l'âme l'armée l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'émigration l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme l'insurrection Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même Madame de Staël madame Roland mains menaces ment ministres Mirabeau monarchie municipalité n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passé passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire porter pouvait pouvoir prêtres prince Prusse puissance qu'un raison reine religion république reste Révolution révolutionnaire Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblée sentiment serait seul soldats sort Stenay tion tribune triomphe trône troupes Tuileries Varennes Vergniaud vices voitures voix Voltaire voulait
Popular passages
Page 289 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique...
Page 246 - Paris vient, pour la dernière fois, offrir ses hommages aux premiers représentans d'une nation puissante et libre. Vous avez été armés du plus grand pouvoir dont les hommes puissent être revêtus. Vous avez fait les destinées de tous les Français; mais aujourd'hui ce pouvoir expire ; encore un jour , et vous ne serez plus. On vous regrettera sans intérêt ; on vous louera sans flatterie; et ce n'est pas nous , ni nos neveux , ce sont les faits qui vous loueront. Que de jours mémorables...
Page 242 - ... que la Loi puisse, d'aujourd'hui, commencer à recevoir une pleine exécution, consentons à l'oubli du passé ; que les accusations et les poursuites qui n'ont pour principe que les événements de la Révolution, soient éteintes dans une réconciliation générale. Je ne parle pas de ceux qui n'ont été déterminés que par leur attachement pour moi ; pourriez-vous y voir des coupables?
Page 120 - Suède; ce qui m'épouvante seulement, c'est » ce qui paralt rassurer tous les autres : c'est que » depuis ce matin tous nos ennemis affectent de » parler le même langage que nous. Tout le monde » est réuni, tous ont le même visage en apparence. » Or tous ne peuvent pas éprouver la même joie de » la fuite d'un roi qui avait quarante millions de » rente, qui disposait de toutes les places et qui les » livrait à ses affidés et à nos ennemis. Il ya donc » des traîtres parmi nous, il...
Page 157 - Je déclare que le roi désirant partir avec ses enfans, rien dans la nature n'aurait pu m'empêcher de le suivre; j'ai assez prouvé depuis deux ans, dans plusieurs circonstances, que je ne le quitterais jamais.
Page 242 - Puisse cette grande et mémorable époque être celle du rétablissement de la paix, de l'union, et devenir le gage du bonheur du peuple et de la prospérité de l'empire!
Page 165 - ... tant que la révolution ne sera pas totalement et paisiblement terminée. On ne peut nous faire aucun mal au dehors ; mais on nous fait un grand mal au dedans, quand on nous...
Page 166 - Aujourd'hui, messieurs, tout le monde doit sentir que l'intérêt commun est que la révolution s'arrête : ceux qui ont perdu doivent s'apercevoir qu'il est impossible de la faire rétrograder, et qu'il ne...
Page 357 - Et si des membres de l'Assemblée nationale disent encore que tout le peuple français n'est pas assez mûr pour cette doctrine, il faut leur répondre : Cela se peut, mais c'est à vous à nous mûrir par votre conduite, par vos discours et par les lois.
Page 241 - Révolution venaient trop souvent affliger mon cœur, j'espérais que la loi reprendrait de la force entre les mains des nouvelles autorités , et qu'en approchant du terme de vos travaux , chaque jour lui rendrait ce respect sans lequel le peuple ne peut avoir ni liberté ni bonheur.