Mercure de France au dix-neuvième siècle1780 |
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Common terms and phrases
affez ainſi Anglois auffi auroit auſſi avoient avoit bâtimens beſoin Braddock c'eſt c'étoit Cadix canons Capitaine Carrouge cauſe Chevalier choſe cœur Comte Comte d'Estaing conféquence Conſeil d'Albarade défenſe diſcours ennemis enſuite eſcadre eſpèce eſprit eſt arrivé étoient étoit faiſant fans fibres flotte font forces François frégate Général Gibraltar guerre Guichen hommes houilles Ifles Jamaïque jours juſqu'à juſqu'au Kutler l'Amérique l'Amiral Rodney l'Auteur l'eſprit l'Hiſtoire Lélio Leſcombat lettres liaiſon Lord lorſqu'il lorſque meſures Miniſtres Mirza Morand Mouhy n'avoit n'eſt Nadir néceſſaires New-Yorck paffer paroît perſonnes plaiſir pluſieurs pouvoit préſent preſque Prince priſe propoſe Puiſſances puiſſe queſtion raiſon reſte roſe s'eſt Sainclair ſans ſe ſont ſe trouve ſeconde ſecours ſemble ſens ſenſation ſera ſeroit ſervice ſervir ſes ſeul ſeule ſituation ſociété ſoit ſommes ſon ſous ſouvent ſtyle ſuccès ſuis ſuite ſuivante ſujet ſur tems Ternay tion troiſième troupes Ubaldi uſage vaiſſeaux de ligne دو
Popular passages
Page 190 - Collection précieuse et enluminée des fleurs les plus belles et les plus curieuses qui se cultivent tant dans les jardins de la Chine que dans ceux de l'Europe, dirigée par les soins et sous la conduite de M.
Page 45 - Valence; c'est que je vous supplie de me faire diacre. — Volontiers, lui dit M. de Paris. — Vous n'en serez pas quitte pour ces deux grâces, monseigneur, interrompit M. de Valence; car outre la prêtrise et le diaconat, je vous demande encore le sous-diaconat. — Au nom de Dieu , reprit brusquement M. de Paris, dépêchez-vous de m'assurer que vous êtes tonsuré, de peur que vous ne remontiez la disette des sacrements jusqu'à la nécessité du baptême.
Page 24 - Je vous jure que vou< allez être contente. Mais où le trouver? Dans quel lieu l'attaquer? Il ne faut pas qu'il m'échappe. Je ne vois pas d'autres moyens que celui que vous me proposâtes hier; il est sur, il est infaillible.
Page 135 - Monf. le Duc de Penthièvre, Amiral de France, de tenir la main à l'exécution du préfent arrêt...
Page 24 - Je frémis... Mais écartons ces horribles idées. Tu as parlé; je ne dois plus balancer. Je lui proposerai une partie de plaisir, et couvrirai ainsi de fleurs l'abîme . où je vais le précipiter. Les mesures que nous avons prises paroissenl nous mettre à l'abri de toutes poursuites.
Page 19 - Jamais tu n'auras paru si aimable à mes yeux. Mais, hélas! les craintes que tu m'as déjà fait voir m'en annoncent de nouvelles. Non, tu n'auras pas le cœur de me satisfaire! Tu appréhendes de perdre le peu d'instants qui forment le cours de notre vie : voilà ce qui te retient!...
Page 135 - Se deux pour tous les autres cas ; à la charge par les Capitaines « Preneurs de fe faire donner , par les Capitaines rançonnés, des vivres en quantité fuffifante pour la nourriture defdits otages, jufqu'au port où ils feront conduits.
Page 31 - On trouve encore dans ce volume les caufes de la décadence du théâtre & les moyens de le faire refleu* rir , par M. de Cailhava.
Page 22 - J'ai tout rejette, tout méprifé pour toi , perfide ! j'ai cherché toutes les occafions de te prouver de mille façons mon attachement extrême. Que n'ai-je pas fouffert par rapport à toi ? n'eft-ce pas pour toi que j'ai rompu avec mon mari? n'eft-ce pas pour toi que j'ai renoncé à tout ce que le monde m'offroit de plus féduifant.
Page 28 - Le il de ce mois, LL. MM. & la Famille Royale ont figné le contrat de mariage du Baron de Makau , Lieutenant-Colonel de Dragons , avec DcmoifeUe de Chazer.