Le Vieux cordelier,: journal politique, rédigé en l'an II |
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Common terms and phrases
appelait armée assez avaient avant Barère c'était Camille cause cher choses citoyens comité comité de salut Commune conspiration Convention Convention nationale Cordelier coup cour courage crime d'autres d'avoir d'être décret demande député dernier Desmoulins devait Dieu dire disait discours doit donner doute écrits enfin faisait femme fera force général gens gouvernement guerre hommes idée j'ai Jacobins jour journal jugement jusqu'à laisser lettre liberté lieu livres main maison ment mère mettre milieu mille monde mort n'ai n'avait n'en n'était nation nationale nature Note nouveau numéro parler passer patrie patriotes père personne peuple Pitt place porte pouvait premier présenter presse pris publique qu'un raison rapport rendre représentant républicains république reste révolution révolutionnaire rien Robespierre s'il salut public sang semble sentiment serait seul société sort suspects terre terreur tête thermidor tion traits tribunal tribune trouvé tyrans Vadier venait vérité vieux Voilà voulait Voyez vrai
Popular passages
Page 239 - ... que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre, et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre.
Page 167 - Ne conçut un projet aussi grand que le mien. Chaque peuple, à son tour, a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre. Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Page 237 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
Page 237 - Les paroles ne forment point un corps de délit; elles ne restent que dans l'idée. La plupart du temps elles ne signifient point par elles-mêmes, mais par le ton dont on les dit. Souvent, en redisant les mêmes paroles, on ne rend pas le même sens : ce sens dépend de la liaison qu'elles ont avec d'autres choses.
Page 76 - J'arrive de Versailles. M. Necker est renvoyé. Ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélemy de patriotes. Ce soir tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ de Mars pour nous égorger ; il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Page 157 - J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! ô ma chère Lucile, où es-tu? (Ici on remarque la trace d'une larme.) Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les mains comme implorant sa pitié, elle qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein.
Page 121 - Que celui de vous qui est sans péché lui jette la première pierre ! » Et se baissant à nouveau, il se remit à écrire sur le sol.
Page 61 - ... de ses amis ? Croyez-vous que ce soient ces femmes, ces vieillards, ces cacochymes, ces égoïstes, ces traînards de la révolution, que vous enfermez, qui sont dangereux ? De vos ennemis, il n'est resté parmi vous que les lâches et les malades. Les braves et les forts ont émigré. Ils ont péri à Lyon ou dans la Vendée ; tout le reste ne mérite pas votre colère.
Page 130 - Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'on te fasse; » il avoit ordonné qu'elle fût gravée dans son palais et sur les murs des édifices publics.
Page 58 - Ceux-là pensent apparemment que la liberté, comme l'enfance, a besoin de passer par les cris et les pleurs pour arriver à l'âge mûr ; il est au contraire de la nature de la liberté que pour en jouir il suffit de la désirer. Un peuple est libre du moment qu'il veut l'être...