Revue des deux mondes, Volume 11; Volume 66Au bureau de la Revue des deux mondes., 1845 - French literature |
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Common terms and phrases
anglais Arabes assez avaient Aztèques batterie beau beauté belle Bossuet c'était canaux cent Chalciope chambre chant chemins de fer cheval chose chrétiens civilisation classes cœur colonie comtesse Cortez côté coup dernier Desaugiers devant Dieu dire donner Druzes enfans Espagnols esprit femme Fénelon fille force Fourier fouriérisme général génie gouvernement grace guerre Guizot Guyane habitans Hahn-Hahn hommes idées Ilda jamais jeune jour Kalmouks Khorsabad Koenigsmark l'Alpuxarra l'ame l'amour l'Angleterre l'art l'auteur lady laisser livre long-temps lord Brougham lutte main maître Mansourah Marochetti marquis de Velez Ménippées ment ministère monde montagnes Montezuma morale Morisques n'avait n'était nature Ninive ouvriers parler passer passions pays pays de Galles pendant pensée personne peuple phalanstère philosophie poésie poète politique population porte premier prince qu'un Quetzalcoatl quiétisme raison reste rien Robert Peel s'est sait semble Sennacherib sentiment serait seul Sibérie sierra sorte terre tion trouve Varron vérité Vijayanagar voie voilà vrai yeux
Popular passages
Page 18 - II faut avoir une pensée de derrière, et juger de tout par là, en parlant cependant comme le peuple.
Page 763 - ... celle, ô Socrate, qui est la fin de tous ses travaux précédents : beauté éternelle, non engendrée et non périssable, exempte de décadence comme d'accroissement, qui n'est point belle dans telle partie et laide dans telle autre, belle seulement en tel temps...
Page 782 - Elle lui donne le charme et la puissance de la mesure ; elle en fait quelque chose d'intermédiaire entre la voix ordinaire et la musique, quelque chose à la fois de matériel et d'immatériel, de fini, de clair et de précis, comme les contours et les formes les plus arrêtées, de vivant et d'animé comme la couleur, de pathétique et d'infini comme le son. Le mot...
Page 307 - S'il se trouve dans vos écrits quelque chose de considérable qui n'ait pas encore été repoussé, j'y répondrai par d'autres moyens. Pour des lettres, composez-en tant qu'il vous plaira, divertissez la ville et la cour, faites admirer votre esprit et votre éloquence, et ramenez les grâces des Provinciales : je ne veux plus avoir de part au spectacle que vous semblez vouloir donner au public...
Page 766 - La fin de l'art est l'expression de la beauté morale à l'aide de la beauté physique. Celle-ci n'est pour lui qu'un symbole de celle-là.
Page 305 - ... de dire que la raison d'aimer Dieu ne s'explique que par le seul désir du bonheur. On a toléré et laissé triompher cette indigne doctrine, qui dégrade la charité en la réduisant au seul motif de l'espérance. Celui qui errait a prévalu, celui qui était exempt d'erreur a été écrasé. Dieu soit béni
Page 767 - ... le fond du beau, c'est l'idée; ce qui fait l'art, c'est avant tout la réalisation de l'idée, el non pas l'imitation de telle ou telle forme particulière.
Page 368 - II est temps, disent-ils, que les théories se taisent devant « les faits. Point d'instruction sans éducation, et point « d'éducation sans morale et sans religion. Les professeurs « ont enseigné dans le désert, parce qu'on a proclamé « imprudemment qu'il ne fallait jamais parler de religion « dans les écoles. L'instruction est nulle depuis dix ans; « il faut prendre la religion pour base de l'éducation.
Page 772 - Encore une fois, n'exagérons rien ; ne séparons pas; unissons l'art, la religion, la patrie : mais que leur union ne nuise pas à la liberté de chacune d'elles. Pénétrons-nous bien de cette pensée, que l'art est aussi à lui-même une sorte de religion. Dieu se manifeste à nous par l'idée du vrai, par l'idée du bien, par l'idée du beau.
Page 866 - Clèves n'était pas moins interdite, de sorte qu'ils gardèrent assez longtemps le silence. Enfin M. de Nemours prit la parole et lui fit des compliments sur...