Histoire du gouvernement parlementaire en France: 1814-1848, Volume 4Michel Lévy, 1860 (p. 349-354) Dans un chapitre sur l'état des partis en 1814-1815, analyse des similitudes et différences d'idées entre les royalistes du "Journal Général" et les constitutionnels. Constant et le "Censeur"; sa théorie de la responsabilité ministérielle dans ses "Réflexions sur les constitutions". L'auteur rapproche son opinion sur la monarchie constitutionnelle de celle de Tracy et de Lanjuinais. |
Other editions - View all
Common terms and phrases
actes amis articles avaient Benjamin Constant Beugnot Blacas Bonald Bonaparte Bourdonnaie brochure budget c'était Camille Jordan candidats Censeur cent Cent-Jours Chambre des députés Chambre des pairs Charte Chateaubriand collègues commission concordat conseil constitutionnelle Corbière Correspondances diplomatiques cours d'ailleurs débat Decazes déclaration demandait devait disait-il discours discussion dit-il doctrinaires duc de Feltre duc de Richelieu duc de Wellington Dunoyer écrit électeurs électoral enfin étrangers eût Fiévée fussent fût gauche général Canuel gouvernement hommes indépendants jour journaux jugement jury l'armée l'empereur l'opinion l'opposition royaliste Laffitte Lainé lettre libéraux liberté loi des élections lois lord Castlereagh Louis XVIII madame de Staël majorité maréchal Gouvion-Saint-Cyr ment millions ministériels ministres Molé Monsieur n'avait n'était nation Néanmoins non-seulement opinions paraissait Pasquier police politique pouvait premier presse principe projet de loi propos public publique question recrutement rentes représentatif restait Révolution Royer-Collard s'était secrète sentiments serait session seul surtout système tion tribune ultra-royalistes Villèle voix vote voulait
Popular passages
Page 394 - Exe. à prendre part à leurs délibérations présentes et futures , consacrées au maintien de la paix , des traités sur lesquels elle repose , des droits et des rapports mutuels établis ou confirmés par ces traités et reconnus par toutes les puissances européennes.
Page 316 - Rome ou produits sous son autorité, excepté les induits de la pénitencerie en ce qui concerne le for intérieur seulement , ne pourront être reçus , imprimés, publiés et mis à exécution dans le royaume qu'avec l'autorisation donnée par le roi.
Page 231 - ... l'époque n'est pas éloignée où il nous est permis d'espérer que, grâce à la sagesse et à la force de mon gouvernement, à l'amour, à la confiance de mon peuple et à l'amitié des souverains, ces charges pourront entièrement cesser, et que notre patrie reprendra parmi les nations le rang et l'éclat dus à la valeur des Français et à leur noble attitude dans l'adversité. Pour parvenir à ce résultat...
Page 396 - Que la France, associée aux autres Puissances par la restauration du pouvoir monarchique, légitime et constitutionnel, s'engage à concourir désormais au maintien et à l'affermissement d'un système qui a donné la paix à l'Europe et qui seul peut en assurer la durée...
Page 140 - ... contraintes de se cacher. Trop heureux alors si quelques-unes de nos montagnes gardent pour la postérité une douzaine de ces chênes, antique honneur de notre patrie, comme le Liban montre les dix-neuf cèdres restés debout sur son sommet.
Page 395 - ... tels que ceux que la France avait contractés, le roi a senti qu'elle était redevable de ce nouveau genre de gloire à la force des institutions qui la régissent, et il voit avec joie que l'affermissement de...
Page 397 - Ils reconnaissent formellement que leurs devoirs envers Dieu et envers les peuples qu'ils gouvernent leur prescrivent de donner au monde, autant qu'il est en eux, l'exemple de la justice, de la concorde, de la...
Page 80 - ... suite les mêmes calamités sous lesquelles elle a gémi si longtemps ? Oui peutêtre, s'ils marchaient à découvert, s'ils parlaient le même langage, s'ils relevaient les mêmes étendards. Mais ils changeront de couleurs et de discours, de mesure et de poids, au gré des circonstances ; ils ne diront rien de ce qu'ils disaient; ils diront le contraire; ils brûleront, s'il le faut, ce qu'ils ont adoré; ils adoreront ce qu'ils ont brûlé. L'hypocrisie est la vertu des partis; les embûches...
Page 365 - Prouvez, disait-il, à vos contemporains que les institutions libérales, dont on prétend confondre les principes à jamais sacrés avec les doctrines subversives qui ont menacé, de nos jours, le système social d'une catastrophe épouvantable, ne sont point un prestige dangereux; mais, que, réalisées avec bonne foi, et dirigées surtout avec pureté d'intention vers un but conservateur et utile à l'humanité, elles s'allient parfaitement avec l'ordre et produisent, d'un commun accord, la prospérité...
Page 307 - Je nu puis sans frémir envisager l'instant où je fermerai les yeux. Vous vous trouverez alors entre deux partis, dont l'un se croit opprimé par moi, et dont l'autre appréhenderait de l'être par vous. Embrasseriez-vous l'un des deux?