Paris en 1793 |
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Common terms and phrases
10 août 10 mars amis armée arrêté assemblée avaient avril Barbaroux Barère barre Beaulieu Beaumarchais Brissot Brissotins Buchez et Roux Buzot ci-devant citoyens club club des Jacobins commissaires Commission des Douze Commune Compagnie de Jésus Conseil général conspirateurs Convention nationale Courrier des départements Danton déclare décret d'accusation dénonce députés dimanche discours Dumouriez Dutard femmes Feuille du Matin février Figaro française Garat garde nationale Gensonné Gironde Girondins Guadet guillotiné heures du matin hommes Ibid Isnard janvier jour Journal juges l'abbé l'Ami du peuple l'Assemblée législative l'Evêché l'Hôtel Lanjuinais Lasource Lazowski lettre liberté Louis XVI lundi maire maison Marat membres ment Michel Lepeletier Mme Roland Moniteur mort Mozart municipalité parole passé Patriote Petion police porte président quarante-huit sections Rabaut Saint-Etienne République Révolution Robespierre s'est Saint salut public sans-culottes séance septembre sera soir tête théâtre tion tocsin Tribunal criminel Tribunal révolutionnaire tribune Tuileries vendredi Vergniaud voté
Popular passages
Page 69 - Dans tout pays où les droits du peuple ne sont pas de vains titres consignés fastueusement dans une simple déclaration , le pillage de quelques magasins , à la porte desquels on pendrait les accapareurs, mettrait fin aux malversations.
Page 313 - C'est dommage ; en rêvant, vous faites des merveilles. Je suis un criminel ; je vous ai détrôné, Pardon. Aussi jamais s'est-on imaginé...? M. D'ORLANGE. Eh ! Victor, chacun fait des châteaux en Espagne ! On en fait à la ville ainsi qu'à la campagne; On en fait en dormant, on en fait éveillé. Le pauvre paysan, sur sa bêche appuyé, Peut se croire, un moment, seigneur de son village. Le vieillard, oubliant les glaces de son âge, Se figure aux genoux d'une jeune beauté, Et sourit ; son...
Page 120 - Qu'elles y pénètrent tous les cœurs. Que tous ceux qui l'habitent sachent que notre Constitution n'accorde l'inviolabilité qu'au roi.
Page 120 - ... préparent les manœuvres qui doivent nous livrer à la maison d'Autriche. Je vois les fenêtres du palais où l'on trame la contre-révolution, où l'on combine les moyens de nous replonger dans les horreurs de l'esclavage, après nous avoir fait passer par tous les désordres de l'anarchie, et par toutes les fureurs de la guerre civile.
Page 97 - Paris un tribunal criminel extraordinaire qui connaîtra de toute entreprise contre-révolutionnaire, de tout attentat contre la liberté, l'égalité, l'unité, l'indivisibilité de la république, la sûreté intérieure et extérieure de l'Etat et de tous les complots tendant à rétablir la royauté ou à établir toute autre autorité attentatoire à la liberté, à l'égalité et à la souveraineté du peuple, soit que les accusés soient fonctionnaires civils ou militaires, ou simples citoyens.
Page 141 - Qu'avez-vous fait pour tant de biens? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus. Du reste homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu ! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes ; et vous voulez jouter...
Page 267 - Le roi ayant résolu de tenir une séance royale aux états -généraux le 22 juin , les préparatifs à faire dans les trois salles qui servent aux assemblées des ordres exigent que ces assemblées soient suspendues jusqu'après la tenue de ladite séance. Sa Majesté fera connaître par une nouvelle proclamation l'heure à laquelle elle se rendra lundi à l'Assemblée des états.
Page 7 - ... vraiment saintes, vraiment solennelles parlent aux cœurs attendris ; que le corps de notre vertueux collègue, découvert à tous les yeux, laisse voir la blessure mortelle qu'il a reçue pour la cause du peuple, qu'une inscription retrace avec une énergique simplicité le glorieux motif de sa mort ; que le fer parricide, sanctifié par le sang d'un patriote, étincelle à notre vue comme un témoignage des fureurs de la tyrannie et de ses vils adorateurs ; que les vêtements ensanglantés...
Page 376 - J'avoue que, ne voyant aucun sens à cette idée, je n'aurais jamais pensé qu'un homme qui a travaillé avec tant de courage, pendant trois ans, pour tirer le peuple de l'esclavage du despotisme, pût concourir à le remettre ensuite sous l'esclavage de la superstition.
Page 67 - Nous avons détruit les nobles et les Capets; il nous reste encore une aristocratie à renverser, c'est celle des riches et des boutiquiers qui accaparent les subsistances du peuple pour le forcer à se mettre à leurs genoux; il 'faut les poursuivre et je me déclare ouvertement contre eux quoique je sacho bien que.