| Alexandre Jacques F. Brierre de Boismont - 1852 - 872 pages
...le haschisch que j'avais mangé sous la forme d'une émeraude d'où s'échappaient des millions de petites étincelles; les cils de mes yeux s'allongeaient...Autour de moi, c'étaient des ruissellements et des enroulements de toutes couleurs, des arabesques, des ramages sans cesse renouvelés, que je ne saurais... | |
| A. Brierre de Boismont - 1852 - 754 pages
...poitrine le haschisch que j'avais mangé sous la forme d'une cmeraude d'où s'échappaient des millions de petites étincelles; les cils de mes yeux s'allongeaient...Autour de moi, c'étaient des ruissellements et des enroulements de toutes couleurs, des arabesques, des ramages sans cesse renouvelés, que je ne saurais... | |
| Lucien Grellety - 1876 - 114 pages
...des milliers de petites étincelles; les cils de mes yeux s'allongeaient indéfiniment, s'enroulaient comme des fils d'or sur de petits rouets d'ivoire,...rapidité. Autour de moi c'étaient des ruissellements, des enroulements de toute couleur, des arabesques, des ramages sans cesse renouvelés, que je ne saurais... | |
| Tony James - Literary Criticism - 1995 - 322 pages
...permettre de recommencer 1'apocalypse!' (ibid. 42). 40 'les cils de mes yeux s'allongeaient indefiniment, s'enroulant comme des fils d'or sur de petits rouets d'ivoire qui tournaient tout seuls avec une eblouissante rapidite' (ibid. 38-9). 41 'Dans un air confinement lumineux, voltigeaient avec un fourmillement... | |
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