Poésies de André Chénier: précédées d'une notice par H. de Latouche ... |
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Common terms and phrases
aime amant âme amis amour André Chénier antique arts aura beau beauté belle bientôt bois bords bouche bras brillant cæur chants charmes Chénier chercher chère ciel cieux coeur cour d'André DAPHNIS destins devant Dieu Dieux dire divin dons douce douleurs doute doux écrits enfant enfin femme fidèle fille fils fleurs flots forme frère front génie gloire Grèce hélas heureux homme humains j'ai jeune jour l'amour l'autre laisse liberté livre loin lois longs lyre main malheureux mère monde mort mortel mourir Muses nature noble noirs nouveau nouvelle nuit nymphes ouvrage parler partout peine pensée père peuple peut-être pieds plein pleurs poésie poète porte premier presse pure qu'un regards respire rien s'il sage sainte secrets sein sentiments sera seul soins soleil sort sourire souvent tendre terre tête tombe touchante tour traits tremble trouver vertu veux Viens vient vivant vivre vois voit voix yeux
Popular passages
Page 265 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 266 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine...
Page 265 - Est-ce à moi de mourir? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille, et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 266 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive; Et, secouant le...
Page 137 - Mes parents, mes amis, l'avenir, ma jeunesse, Mes écrits imparfaits ; car, à ses propres yeux, L'homme sait se cacher d'un voile spécieux... A quelque noir destin qu'elle soit asservie. D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir.
Page 274 - COMME un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Animent la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaye encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière.
Page 10 - J'étais assis près de la poupe. 'Aveugle vagabond, dit l'insolente troupe, Chante; si ton esprit n'est point comme tes yeux, Amuse notre ennui ; tu rendras grâce aux Dieux . . . J'ai fait taire mon cœur qui voulait les confondre; Ma bouche ne s'est point ouverte à leur répondre. Ils n'ont pas entendu ma voix, et sous ma main J'ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes fils dédaignent Mnémosyne, Puisqu'ils ont fait outrage à la muse divine, Que leur vie et leur mort s'éteignent...
Page 60 - FILLE du vieux pasteur, qui d'une main agile Le soir emplis de lait trente vases d'argile , Crains la génisse pourpre, au farouche regard, Qui marche toujours seule et qui paît à l'écart. Libre, elle lutte et fuit intraitable et rebelle ; Tu ne presseras point sa féconde mamelle , A moins qu'avec adresse un de ses pieds lié Sous un cuir souple et lent ne demeure plié. (TIRÉ DEMOSCHUS. ) NOUVEAU cultivateur, armé d'un aiguillon , L'Amour guide le soc et trace le sillon ; II presse sous le...
Page 136 - Souvent, las d'être esclave et de boire la lie De ce calice amer que l'on nomme la vie, Las du mépris des sots qui suit la pauvreté, Je regarde la tombe, asile souhaité; Je souris à la mort volontaire et prochaine; Je me prie, en pleurant, d'oser rompre ma chaîr= Le fer libérateur qui percerait mon sein Déjà frappe mes yeux et frémit sous ma main...
Page 271 - Les enfants qui suivaient ses ébats dans la plaine, Les vierges aux belles couleurs Qui le baisaient en foule, et sur sa blanche laine Entrelaçaient rubans et fleurs , Sans plus penser à lui, le mangent s'il est tendre. Dans cet abîme enseveli J'ai le même destin. Je m'y devais attendre. Accoutumons-nous à l'oubli.