... après l'erreur de ceux qui nient Dieu, laquelle je pense avoir ci-dessus assez réfutée, il n'y en a point qui éloigne plutôt les esprits faibles du droit chemin de la vertu, que d'imaginer que l'âme des bêtes soit de même nature que la nôtre,... Discussions politiques - Page 75by Emile Faguet - 1909 - 421 pagesFull view - About this book
| 1819 - 610 pages
...exemplaires de l'ouvrage de Peirera pour dissimuler «on larcin. d'imaginer que l'âme des bêtes soit de même nature que la nôtre, et que par conséquent...rien à craindre ni à espérer après cette vie, pas plus que les mouches et les fourmis, au lieu que lorsqu'on sait combien elles diffèrent, on comprend... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...éloigne plutôt les esprits faibles du droit chemin de la vertu, que d'imaginer que l'ame des bêtes soit de même nature que la nôtre , et que par conséquent...comprend beaucoup mieux les raisons qui prouvent que )a nôtre est d'une nature entièrement mdépendante du corps, et par conséquent qu'elle n'est point... | |
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...éloigne plutôt les esprits faibles du droit chemin de la vertu que d'imaginer que l'âme des bêtes soit de même nature que la nôtre, et que par conséquent...corps , et par conséquent qu'elle n'est point sujette & mourir avec lui ; puis , d'autant qu'on ne voit point d'autres causes qui la détruisent, on est... | |
| Pierre Laromiguière - Philosophy - 1844 - 532 pages
...droit chemin de la vertu , que d'imaginer que l'âme des bêtes soit de même nature que la nôtre , cl que par conséquent nous n'avons rien à craindre...corps, et par conséquent qu'elle n'est point sujette a mourir avec lui ; puis, d'autant qu'on ne voit point d'autres causes qui la detruisent, on est naturellement... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - Literature - 1845 - 788 pages
...plus tôt les esprits faibles du droit chemin de la vertu que d'imaginer que l'âme des bêtes soit de même nature que la nôtre, et que, par conséquent,...fourmis, au lieu que, lorsqu'on sait combien elles different, on comprend beaucoup mieux les raisons qui prouvent que la nôtre est d'une nature entièrement... | |
| René Descartes - Filosofia - 1850 - 700 pages
...plutôt les esprits faibles du droit chemin de la vertu que 'l'imaginer que l'âme des bêtes soit de même nature que la nôtre, et que par conséquent...fourmis ; au lieu que lorsqu'on sait combien elles different, on comprend beaucoup mieux les raisons qui prouvent que la nôtre est d'une nature entièrement... | |
| Pierre Flourens - Animal intelligence - 1851 - 198 pages
...que l'âme des bêtes soit de même nature « que la nôtre, et que par conséquent nous n'a« vons rien à craindre ni à espérer après cette « vie,...raisons qui « prouvent que la nôtre est d'une nature entière« ment indépendante du corps, et par conséquent « qu'elle n'est point sujette à mourir... | |
| Francisque Bouillier - Philosophy, Modern - 1854 - 632 pages
...nunc arbitrer déesse.» (De quant itate animas, cap. 30.) d'imaginer que l'âme des bêtes soit de la même nature que la nôtre, et que par conséquent...rien à craindre ni à espérer après cette vie, pas plus que les mouches et les fourmis, au lieu que lorsqu'on sait combien elles diffèrent, on comprend... | |
| Yves Marie André - Authors, French - 1856 - 432 pages
...plutôt les esprits faibles du droit chemin de la vertu , que d'imaginer que l'âme des bêtes soit de même nature que la nôtre , et que , par conséquent...cette vie, non plus que les mouches et les fourmis. « Rien , s'écrie le P. André, de plus solidement pensé! car cette opinion est la source de l'athéisme... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - France - 1860 - 832 pages
...plus tôt les esprits faibles du w droit chemin de la vertu, que d'imaginer que l'âme des bêtes soit de «même nature que la nôtre, et que, par conséquent,...combien elles diffèrent, on « comprend beaucoup mieux que la nôtre est d'une nature entièrement «indépendante du corps, et, par conséquent, qu'elle... | |
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