Histoire de la révolution française, Volume 3 |
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¹ Mémoires Amis assemblées avaient Bailly Bertrand de Moleville Berville et Barrière bourgeoisie Brissot c'était Camille Desmoulins cent chambre château citoyens clergé cœur Collection Berville comité comte d'Estaing comte de Provence cour Courrier de Provence criminelle du Châtelet déclaration décret Déposition députés devant dîmes districts duc d'Orléans ecclésiastiques Édition de 1792 Fauchet Favras femmes garde nationale gardes du corps Histoire hommes Ibid Journal justice l'abbé l'Assemblée nationale l'Église l'évêque l'hôtel Lafayette Lally-Tollendal lettre liberté Louis XVI Loustalot Maillard Marck Marie-Antoinette Mémoires de Ferrières Mémoires de Rivarol ment mille millions ministres Miomandre Mme Campan monastiques Moniteur motion Mounier municipalité n'avait n'était nation Necker octobre pain parlement paroles peuple porte prêtres prince Procédure crimi Procédure criminelle propriétaires propriété régiment de Flandre reine reste Révolution Révolution française Rivarol royale royaume s'était saint Saint-Priest séance serait seul Sieyès tion tribune Versailles veto voilà voix Voltaire
Popular passages
Page 55 - ... afin que les actes du Pouvoir législatif et ceux du Pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
Page 57 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 56 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 56 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 55 - La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 55 - Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. » ART. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme.
Page 55 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits.
Page 56 - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique: cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Page 84 - La royauté est indivisible, et déléguée héréditairement à la race régnante, de mâle en mâle, par ordre de primogéniture, à l'exclusion perpétuelle des femmes et de leur descendance.
Page 56 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit , et légalement appliquée.