Histoire de la maison d'Autriche, depuis Rodolphe de Hapsbourg jusqu'à la mort de Léopold H. (1218-1792)H. Nicolle, 1809 - Austria |
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... souverain . Les états- généraux prirent une résolution , par laquelle ils 2 - ( 1 ) M. Robinson to lord Harrington , oct . 26 , nov . 7 , 1740 , and to sir Everard Fawkener , nov . 7 , 1740 . Fuetter , Historical Development of the ...
... souverain . Les états- généraux prirent une résolution , par laquelle ils 2 - ( 1 ) M. Robinson to lord Harrington , oct . 26 , nov . 7 , 1740 , and to sir Everard Fawkener , nov . 7 , 1740 . Fuetter , Historical Development of the ...
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... souverain de ce que , par une offre directe , il avoit du moins fait un pas vers un accommo- dement , Frédéric répondit : « Au commence- » ment de la guerre , je me serois contenté de >> cette proposition ; mais après les dépenses que ...
... souverain de ce que , par une offre directe , il avoit du moins fait un pas vers un accommo- dement , Frédéric répondit : « Au commence- » ment de la guerre , je me serois contenté de >> cette proposition ; mais après les dépenses que ...
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... souverain a cou- tume de haranguer les états . Après quelques instants de silence , le chancelier retraça la triste situation des affaires , et demanda de pron pts secours . Marie - Thérèse prit ensuite la parole , et adressa , en latin ...
... souverain a cou- tume de haranguer les états . Après quelques instants de silence , le chancelier retraça la triste situation des affaires , et demanda de pron pts secours . Marie - Thérèse prit ensuite la parole , et adressa , en latin ...
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... souverain , et l'Allemagne comme une province de France , causoit beau- coup de mécontentement . Les électeurs de Ba- vière et de Saxe , qui se flattoient de partager Chap . Cl . 1741 . ( 1 ) « Les Pandours ou Baudures sont une milice ...
... souverain , et l'Allemagne comme une province de France , causoit beau- coup de mécontentement . Les électeurs de Ba- vière et de Saxe , qui se flattoient de partager Chap . Cl . 1741 . ( 1 ) « Les Pandours ou Baudures sont une milice ...
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... souverains de l'Empire , » pour soulever l'Allemagne contre moi et m'é- >> craser . Ni moi ni mes descendants n'oublie- > rons jamais qu'il a entretenu , en temps de » paix , des espions dans Luxembourg , pour >> séduire la garnison et ...
... souverains de l'Empire , » pour soulever l'Allemagne contre moi et m'é- >> craser . Ni moi ni mes descendants n'oublie- > rons jamais qu'il a entretenu , en temps de » paix , des espions dans Luxembourg , pour >> séduire la garnison et ...
Contents
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Common terms and phrases
alliés armée armes attaqué auroit Autrichiens avoient avoit ayant Bartenstein Basse-Silésie bataille Bavière Bohême Breslaw britannique camp campagne cavalerie cession Chap Chap.CXII commandement commandoit comte comte de Daun convention corps de troupes cour de Versailles cour de Vienne CXIII CXVII Daun déclara devoit diète Dresde duc de Cumberland duc de Lorraine duché étoient étoit Euvres posthumes faisoit feld-maréchal forces Frédéric garnison général Glatz Grande-Bretagne guerre Hanovre Joseph Kaunitz Keith l'Angleterre l'armée l'électeur l'empereur l'ennemi l'impératrice l'impératrice-reine Lascy Léopold Loudon MAISON D'AUTR maison d'Autriche maréchal de Belle-Isle maréchal de Broglie Marie-Thérèse mée ment mille hommes ministre n'avoit négociation Neisse Neuperg neutralité Note du traducteur opérations paix Pays-Bas Pologne pouvoit Prague prince Charles princesse prit propositions provinces Prusse Prussiens Règne de Marie-Thérèse reine de Hongrie retraite Rhin Robinson Robinson's Dispatches Russie s'étoient s'étoit Sardaigne Saxe Saxons secours seroit Silésie souverain subside succès Thérèse tion traité triche vouloit
Popular passages
Page 401 - Le dix-huitième jour de chaque mois , elle descend au caveau des capucins , où sont déposés les restes de son époux ; et elle passe, dans la retraite et la prière, au château de Schœnbrunn, tout le mois d'août, qui est celui où ce prince est mort. « Voici la manière de vivre et les occupations ordinaires de Marie-Thérèse.
Page 555 - Majestés l'Empereur et le Roi de Prusse sont résolus d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, Elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 555 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 555 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe. Elles espèrent que cet intérêt ne peut manquer d'être reconnu par les puissances dont le secours est réclamé, et qu'en conséquence elles ne refuseront pas d'employer, conjointement avec leurs dites Majestés, les moyens...
Page 335 - Porte qui, enveloppée, depuis jusqu'à i777, dans les Œuvres posthumes de Frédéric II, pour se convaincre que ce prince a été le premier auteur du projet, et qu'il est parvenu à son but en profitant de la mésintelligence qu'il y avoit entre les cours de Vienne et de Saint-Pétersbourg. C'est aussi une chose digne de remarque que, dans le compte que le roi de Prusse rend des entrevues de Neisse et de Neustadt, il ne fait mention d'aucun plan pour le démembrement de la Pologne.
Page 495 - L'empereur me dit, peu de jours avant sa mort, et à mon arrivée de l'armée de Hongrie que j'avais menée en Silésie : — Je n'ai pas été en état hier de vous voir. Votre pays m'a tué; Gand pris a été mon agonie, et Bruxelles abandonné, ma mort. Quelle avanie pour moi ! (Il répéta plusieurs fois ce mot.) J'en, meurs : il faudrait être de bois pour que cela ne fût pas.
Page 499 - J'ordonne que le présent écrit, contenant mes « dernières volontés, soit rendu public après ma mort; « et je prie ceux à qui , contre mon intention, je n'au« rais pas rendu une pleine justice , de me pardonner, « soit comme chrétiens , soit par humanité. Je les prie « de réfléchir qu'un monarque sur son trône, ainsi que « le pauvre dans sa chaumière, est homme, et que tous « deux sont sujets aux mêmes erreurs.
Page 561 - Votre ennemi véritable, c'est l'Empereur.. .11 cherche » .à vous attaquer ou à vous effrayer... Si vous devez «être attaqués, il vous convient de prévenir; si l'on» veut vous amuser, vous ne devez pas vous endormir; » si l'on ne tend qu'à vous forcer par la terreur à une » capitulation indigne de vous , il faut réaliser ce que » vous avez cent fois promis : la constitution ou la » mort. La mort ! elle n'est point à craindre, examine! » votre .position et celle de l'Empereur... Votre...
Page 52 - Hongrois. Dans ce péril extrême, nous vous exhortons, vous, les États et Ordres du royaume , à délibérer sans délai sur les moyens les plus propres à pourvoir à la sûreté de notre personne , de nos enfants et de notre couronne, et à y recourir sur-le-champ. Quant à nous, les fidèles États et Ordres de Hongrie peuvent compter sur notre coopération en tout ce qui pourra contribuer au rétablissement de la félicité publique et rendre à ce royaume son ancien éclat.
Page 51 - La situation déplorable de nos affaires nous a portée à rappeler à nos chers et fidèles États de Hongrie l'invasion récente de l'Autriche , et les dangers auxquels ce royaume est exposé , et à les inviter à chercher un remède à de si grands malheurs. L'existence même du royaume de Hongrie, celle de notre personne , de nos enfants et de notre couronne sont menacées. Abandonnée de tous nos alliés, nous plaçons notre confiance uniquement en la fidélité et en la valeur si longtemps...