Histoire des Girondins, Volume 5Imprimerie Suisse, 1850 - France |
Contents
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Common terms and phrases
accusés amis applaudit armée avaient Barrère bataillons bespierre Billaud-Varennes Bourdon bourreau c'était cachot Camille Desmoulins Carnot Cécile Renault Châlier charrette Chaumette citoyens club cœur collègues Collot Collot-d'Herbois comité de salut complices conspirateurs Convention coup courage Couthon crime culte d'Hébert Danton décret députés dictature Dieu dit-il Dorfeuille Élie Lacoste ennemis Fabre d'Églantine factions femme force Fouché Fouquier-Tinville général Girondins gouvernement guillotine Hébert hommes Houchard immolé j'ai Jacobins jeune jour Jourdan justice l'ame l'armée l'échafaud l'Hôtel-de-Ville laisser LAMARTINE Lebas Léonard Bourdon liberté Lyon madame madame Roland main membres ment mille Montagne mort mourir n'avait nuit parole patrie patriotes Payan peuple philosophie Pichegru populaire porte Précy prison représentants républicains république Révolution Robespierre Roland Rose Lacombe s'était Saint-Just salut public sang sauver séance sentiment seul soldats sort supplice suprême Tallien terreur tête tion Toulon toyens tribunal révolutionnaire tribune triomphe tyrans Vadier vengeance vertu victimes voix voulait yeux
Popular passages
Page 317 - L'épi naissant mûrit de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux pas mourir encore.
Page 318 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance.
Page 430 - ... lâche et le plus atroce? En voyant la multitude des -vices que le torrent de la Révolution a roulés pêle-mêle avec les vertus civiques, j'ai craint quelquefois, je l'avoue, d'être souillé aux yeux de la postérité par le voisinage impur des hommes pervers qui s'introduisaient parmi les sincères amis de l'humanité...
Page 343 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Page 431 - On vous parle beaucoup de vos victoires' avec une légèreté académique qui ferait croire qu'elles n'ont coûté à nos héros ni sang ni travaux : racontées avec moins de pompe, elles paraîtraient plus grandes. Ce n'est ni par des phrases de rhéteur, ni même par des exploits guerriers, que nous subjuguerons l'Europe, mais par la sagesse de nos lois, par la majesté de nos délibérations, et par la grandeur de nos caractères.
Page 197 - L'athéisme est aristocratique; l'idée d'un grand être, qui veille sur l'innocence opprimée et qui punit le crime triomphant, est toute populaire.
Page 365 - ... n'a point créé les rois pour dévorer l'espèce humaine; il n'a point créé les prêtres pour nous atteler , comme de vils animaux , au char des rois , et pour donner au monde...
Page 244 - On m'a écrit; les amis de Danton m'ont fait parvenir des lettres, m'ont obsédé de leurs discours; ils ont cru que le souvenir d'une ancienne liaison , qu'une foi antique dans de fausses vertus me détermineraient à ralentir mon zèle et ma passion pour la liberté.
Page 197 - On a dénoncé des prêtres pour avoir dit la messe : ils la diront plus longtemps, si on les empêche de la dire. Celui qui veut les empêcher est plus fanatique que celui qui dit la messe.
Page 295 - C'est aux rois à verser des pleurs. Nous vous avons donné la vie, Guerriers, elle n'est plus à vous ; Tous vos jours sont à la patrie, Elle est votre mère avant nous.