Histoire du gouvernement parlementaire en France, 1814-1848, Volume 1(P. 349-354) Dans un chapitre sur l'état des partis en 1814-1815, analyse des similitudes et différences d'idées entre les royalistes du "Journal Général" et les constitutionnels. Constant et le "Censeur"; sa théorie de la responsabilité ministérielle dans ses "Réflexions sur les constitutions". L'auteur rapproche son opinion sur la monarchie constitutionnelle de celle de Tracy et de Lanjuinais. |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolu actes administrations articles assemblées attributions avaient c'était cent Chambres chargé chef choisir chose citoyens comité commission commune conseil conséquence constitution constitutionnel consul contraire Convention Corps législatif côté cour d'ailleurs d'être débat déclaration décret délibérer demander département députés dernier devait dire Directoire division doit donner enfin esprits établi état eût faisait fonctions force forme fût général gouvernement hommes idées Jacobins jour journaux juges l'Assemblée l'autre l'un liberté libre lieu lois majorité membres ment mesure ministres Mirabeau mois monarchie moyen municipalités n'avait n'était nation nationale nécessaire noblesse nombre nommer nouveau nouvelle ordres Parlement pays pendant pensée peuple place populaire porter pourtant pouvait pouvoir exécutif premier présenter presque projet proposait proposition public publique qu'en qu'un question raison refuser représentants restait réunir Révolution rien Robespierre royale s'en s'était s'il second Sénat sentiments séparation serait seul Sieyès sorte système tion tribunal trouvait venait véritable voie volonté vote voulait vrai
Popular passages
Page 42 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.
Page 277 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 298 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 441 - Constitution !... vous l'avez violée au 18 fructidor; vous l'avez violée au 22 floréal; vous l'avez violée au 30 prairial. La Constitution ! elle est invoquée par toutes les factions, et elle a été violée, par toutes ! Elle ne peut être pour nous un moyen de salut, parce qu'elle n'obtient plus le respect de personne.
Page 296 - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Page 85 - ... le rempart inexpugnable de la liberté politique, pourvu que le roi ne puisse jamais s'obstiner dans son veto sans dissoudre, ni dissoudre...
Page 556 - D. Que doit-on penser de ceux qui manqueraient à leur devoir envers notre, empereur? « R. Selon l'apôtre saint Paul, ils résisteraient à l'ordre établi de Dieu même, et se rendraient dignes de la damnation éternelle.
Page 233 - ... suspects de révolte contre la loi, et de mauvaises intentions contre la patrie, et, comme tels, plus particulièrement soumis et recommandés à la surveillance de toutes les autorités constituées.
Page 283 - ... ancienne des gouvernements de vouloir trop gouverner; laissez aux individus, laissez aux familles le droit de faire ce qui ne nuit point à autrui; laissez aux communes le pouvoir de régler elles-mêmes leurs propres affaires en tout ce qui ne tient pas essentiellement à l'administration générale de la république; en un mot, rendez à la liberté individuelle tout ce qui n'appartient pas naturellement à l'autorité publique, et vous aurez laissé d'autant moins de prise à l'ambition et...
Page 128 - Je sais bien qu'on ne couperait ni des maisons ni des clochers : mais on diviserait ce qui est encore plus inséparable; on trancherait tous les liens que resserrent, depuis si long-temps, les mœurs, les habitudes, les coutumes, les productions et le langage.