Vie, travaux et doctrine scientifique d'Étienne Geoffroy Saint-Hilaire |
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Anencéphales animaux vertébrés article avaient Buffon Bull Caire caractère Cétacés Chap circonstances classification collègues composition organique connexions Considérations Crocodiles Cuvier et Geoffroy d'Haüy Dasyure Daubenton découverte démonstration Description Description de l'Égypte détermination devait développement diverses doctrine Égypte encycl époque espèces esprit études eût Extrait fœtus général genre Geoffroy Saint Geoffroy Saint-Hilaire Goethe Haüy Hilaire I.er Ibid ichthyologique idées Jardin des plantes jour l'Acad l'Académie des sciences l'anatomie comparée l'anatomie philosophique l'auteur l'autre l'Égypte l'histoire naturelle l'observation l'un l'Unité de composition Lacépède Lamarck lui-même mammalogiques Mammifères Meckel méd médic Mém Mémoire Ménagerie ment méthode Monstres Monstruosités non-seulement nouvelle observations Oiseaux osseuse ouvrage paléontologie pensée philom Philosophie anatomique physiologie Poissons Polyptère Portugal premier presque principe professeur publié question Rapport recherches reste résultats résumé Saint-Firmin savant scientifique série seul tératologie Théorie des analogues tion travaux de Geoffroy trouve vérité Vertébrés Voyez zoologie zootomistes
Popular passages
Page 134 - vivants que sur un plan unique , essentiellement le « même dans son principe, mais qu'elle a varié de « mille manières dans toutes ses parties accessoires.
Page 21 - Laissez là les problèmes sur les cristaux et tous ces rhomboïdes et dodécaèdres, hérissés d'angles et de formules algébriques ; attachez-vous aux plantes qui se présentent sous un air bien plus gracieux et parlent un langage plus intelligible.
Page 72 - ... le même dans son principe, mais qu'elle a varié de mille manières dans toutes ses parties accessoires. Si nous considérons particulièrement une classe d'animaux, c'est là surtout que son plan nous paraîtra évident : nous trouverons que les formes diverses sous lesquelles elle s'est plu à faire exister chaque espèce, dérivent toutes les unes des autres...
Page 134 - Une vérité constante pour l'homme qui a observé un grand nombre de productions du globe, c'est qu'il existe entre toutes leurs parties une grande harmonie et des rapports nécessaires ; c'est qu'il semble que la nature...
Page 143 - ... et ce plan, toujours le même, toujours suivi de l'homme au singe, du singe aux quadrupèdes, des quadrupèdes aux cétacés, aux oiseaux, aux poissons, aux reptiles; ce plan, dis-je, bien saisi par l'esprit humain, est un exemplaire fidèle de la nature vivante, et la vue la plus simple et la plus générale sous laquelle on puisse la considérer...
Page 134 - ... accessoires. Si nous considérons particulièrement une classe d'animaux, c'est là surtout que son plan nous paraîtra évident : nous trouverons que les formes diverses sous lesquelles elle s'est plu à faire exister chaque espèce, dérivent toutes les unes des autres ; il lui suffit de changer quelques-unes des proportions des organes pour les rendre propres à de nouvelles fonctions, ou pour . en étendre ou restreindre les usages.
Page 160 - Ayant imaginé de. compter autant d'os qu'il ya de centres d'ossification distincts, et ayant essayé de suite cette manière de faire, j'ai eu lieu d'apprécier la justesse de cette idée...
Page 448 - Sur une nouvelle détermination de quelques pièces mobiles chez la carpe , ayant été considérées comme les parties analogues des osselets de l'oreille , et sur la nécessité de conserver le nom de ces osselets aux pièces de l'opercule.
Page 355 - Mémoire où l'on se propose de rechercher dans quels rapports de structure organique et de parenté sont entre eux les Animaux des âges historiques et vivant actuellement, et les espèces antédiluviennes et perdues.— Mém.
Page 15 - ... la chasse à leurs semblables comme à des bêtes fauves. On les poursuivait sur les arbres, sur les murs , derrière les buissons. On en tua ainsi plus de quarante; quelques-uns purent se sauver en escaladant les murs et en se jetant dans la rue Cassette et dans les cours des maisons voisines ; mais pensant que leur absence pourrait faire massacrer leurs compagnons, ils rentrèrent à l'exception d'un petit nombre.